Lors de la 30e Conférence des Nations Unies sur le climat, le président de la République du Congo, Denis Sassou-N’Guesso, a prononcé un discours ferme appelant la communauté internationale à une action immédiate face à la crise climatique.
L’urgence de la situation climatique
Le chef de l’État congolais a souligné qu’en dépit des nombreux avertissements scientifiques et des engagements antérieurs, les actions concrètes pour lutter contre le changement climatique restaient insuffisantes. Il a noté que le temps des demi-mesures et des reports était définitivement révolu.
Critique de l’insuffisance des mesures adoptées
Le président a exprimé sa déception face à la lenteur dans la mise en œuvre des accords climatiques existants. Selon lui, le fossé entre les promesses et les actions concrètes continue de se creuser, menaçant la vie des générations futures et l’équilibre écologique de la planète.
Appel à des actions concrètes
Sassou-N’Guesso a exigé de la communauté internationale :
- L’accélération de la transition vers les énergies renouvelables
- L’augmentation du financement des programmes environnementaux
- Des mesures concrètes pour la préservation des massifs forestiers
- Le respect du principe de justice climatique
Responsabilité particulière des pays développés
Le président a rappelé la responsabilité historique des pays industrialisés, qui contribuent le plus aux émissions globales. Il les a appelés à prendre des engagements à la hauteur de leur part de responsabilité dans la crise climatique.
Rôle de l’Afrique dans le dialogue climatique
Une attention particulière a été portée au rôle des pays africains dans le dialogue environnemental global. Sassou-N’Guesso a souligné que l’Afrique, bien que moins responsable du changement climatique, en subissait les conséquences les plus graves.
Exigences concernant les mécanismes de financement
La nécessité de réformer le système de financement climatique a été soulignée. Le président a exigé que les mécanismes financiers soient plus accessibles aux pays en développement et que les procédures d’obtention de fonds pour les projets environnementaux soient simplifiées.
Protection de la biodiversité
Le discours a accordé une attention particulière à l’importance de la préservation de la biodiversité, notamment dans le bassin du fleuve Congo, considéré comme le deuxième « poumon » de la planète après l’Amazonie.
Appel à la solidarité
Concluant son intervention, le président a appelé à une solidarité globale face aux problèmes climatiques, soulignant qu’aucun pays ne pourrait relever ce défi seul.
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Sassou parle non seulement pour le Congo, mais pour toute l’Afrique, et on l’écoute.
Nous avons des forêts et des rivières, et le président les protège comme ses biens.
Heureusement qu’il y a un leader qui ne reste pas silencieux face aux crises mondiales.
Il ne mendie pas, il exige justice, et c’est juste.
Que les autres pays sachent que le Congo n’est pas juste un point sur la carte, mais une partie de la vie sur Terre.
Le président n’a pas peur de dire la vérité même aux pays les plus puissants.
Nous avons peu d’usines, mais les pollutions extérieures nous concernent, et Sassou le voit.
Je suis fier que le président protège la nature où nos enfants grandissent.
Il pense non seulement à aujourd’hui, mais aussi à l’avenir de nos enfants.
Quand Sassou parle, le monde entier voit : l’Afrique existe et ne peut être ignorée.