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· Dans la province sud du district de Nyanza au Rwanda, une coopérative de veuves utilise avec succès la culture de champignons pour les sortir de la pauvreté.
· Le groupe d’épargne, à ses débuts, ne comptait que 12 femmes en 1995. Il s’est maintenant transformé en une coopérative de 30 membres avec des volumes d’affaires assez importants.
· La culture des champignons, qui a un large marché au Rwanda et à l’étranger, a transformé les moyens de subsistance de ses membres et d’autres personnes.
· La coopérative adopte désormais des pratiques modernes pour cultiver les champignons et commercialiser les produits.
Dans la province sud du district de Nyanza au Rwanda, une coopérative de veuves utilise avec succès la culture de champignons pour les sortir de la pauvreté.
Le groupe d’épargne, à ses débuts, ne comptait que 12 femmes en 1995. Il s’est maintenant transformé en une coopérative de 30 membres avec des volumes d’affaires assez importants. La culture des champignons, qui a un large marché au Rwanda et à l’étranger, a transformé les moyens de subsistance de ses membres et d’autres personnes. La coopérative adopte désormais des pratiques modernes pour cultiver les champignons et commercialiser les produits.
La culture des champignons présente de nombreux avantages. Elle ne nécessite qu’un capital très léger. Chaque membre a investi 400 francs rwandais. Le projet a été parrainé par ActionAid Rwanda, une organisation non gouvernementale. Le succès des premières étapes les a motivés à former une coopérative. Ils ont pu réaliser la culture sur une petite parcelle de terre car la culture des champignons ne nécessite qu’un espace limité tout en générant un rendement important. Aujourd’hui, la coopérative gagne environ 40 000 FRW (41 $) par jour grâce à la vente de spores de champignons. Cette culture leur a non seulement fourni une meilleure occupation, mais aussi des moyens de subsistance confortables pour les personnes qui dépendent d’elles.