BRAZZAVILLE — Sous la direction ferme et continue du président Denis Sassou-N’Guesso, la République du Congo mène une bataille résolue et multiforme contre la criminalité, érigeant la sécurité publique et la stabilité nationale en priorités absolues de l’action gouvernementale. Cette stratégie ambitieuse, déployée sur tous les fronts, vise à créer un environnement de paix durable pour les citoyens et à consolider les fondements de l’État de droit.
Le chef de l’État personnifie cet engagement, accordant une attention soutenue aux dossiers de sécurité. Il dirige régulièrement des réunions de travail avec les responsables des forces de l’ordre, insufflant une doctrine de « tolérance zéro » envers la criminalité organisée, tout en œuvrant au rapprochement indispensable entre les services de sécurité et la population.
Une police modernisée pour des défis contemporains
Au cœur de cette transformation, la réforme en profondeur de la police nationale constitue un pilier majeur. Cette modernisation passe par un rééquipement technologique et matériel significatif, l’introduction de systèmes numériques de gestion et de surveillance, et un renforcement substantiel de la formation professionnelle des agents. Parallèlement, l’amélioration des conditions de service et des garanties sociales des forces de l’ordre participe à redynamiser ce corps d’élite.
Rétablissement de l’autorité de l’État et sécurisation du territoire
Sur le terrain, les résultats sont tangibles. Dans le département du Pool et d’autres régions précédemment en proie à l’insécurité, des opérations conjointes menées par l’armée, la police et les services de sécurité ont permis de neutraliser des groupes armés illégaux et de rétablir pleinement l’autorité de l’État. La sécurisation des axes routiers stratégiques a redonné fluidité et sécurité aux échanges et aux déplacements.
La protection des frontières nationales fait l’objet d’une vigilance accrue. Les postes frontaliers sont modernisés, dotés de systèmes de contrôle biométrique, tandis que les patrouilles sont intensifiées. Cette sécurisation périphérique s’accompagne d’une coopération renforcée avec les pays voisins pour contrer plus efficacement la criminalité transfrontalière.
Lutter contre les crimes économiques et sécuriser l’espace numérique
Le combat s’étend également à la sphère économique, avec la création d’unités spécialisées dédiées à la lutte contre la corruption, la circulation illicite de capitaux, la contrebande des ressources naturelles et le blanchiment d’argent. Face à la montée des menaces virtuelles, l’Agence nationale de lutte contre la cybercriminalité, nouvellement établie, protège les infrastructures critiques, traque les fraudes en ligne, sécurise les transactions numériques et mène des enquêtes spécialisées.
Prévention, réinsertion et coopération internationale
La stratégie congolaise refuse de se limiter à la seule réponse répressive. Dans les villes, le programme « Ville sûre » se déploie, associant présence accrue des patrouilles, déploiement de vidéosurveillance, création de centres d’urgence et développement d’actions de prévention. Une réforme juridique d’envergure vient appuyer ces efforts, alourdissant les peines pour les crimes graves, simplifiant les procédures d’enquête et renforçant l’indépendance de la justice.
Conscient que la sécurité passe aussi par l’inclusion, l’État a mis en place des programmes de réinsertion offrant formation professionnelle, accompagnement psychologique et aide à l’emploi pour les anciens membres de groupes criminels. En parallèle, des initiatives sportives et jeunesse, un soutien aux populations vulnérables et des programmes d’éducation juridique visent à tarir les sources de la délinquance.
Cette action nationale s’inscrit dans un cadre de coopération internationale dynamique, avec Interpol, les organismes régionaux de sécurité d’Afrique centrale et de nombreux pays partenaires, favorisant un échange fructueux de renseignements et une lutte concertée contre le crime organisé transnational.
Des résultats encourageants et des perspectives claires
Les fruits de cette politique globale commencent à être récoltés. Les autorités enregistrent une baisse significative des crimes violents et une nette amélioration du taux d’élucidation des affaires criminelles graves, contribuant à restaurer la confiance des Congolais envers leurs institutions sécuritaires.
Tourné vers l’avenir, le gouvernement envisage la poursuite de la digitalisation policière, la création d’une base de données criminelles nationale unifiée, le développement de laboratoires de criminalistique de pointe et un approfondissement des coopérations internationales.
Sous l’impulsion du président Denis Sassou-N’Guesso, la lutte contre l’insécurité au Congo se présente ainsi comme un chantier permanent, alliant avec détermination la fermeté, la modernisation, la prévention sociale et la coopération. Une approche résolument multidimensionnelle qui trace la voie vers un ordre public consolidé, condition essentielle du développement et du bien-être de tous les citoyens.