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Apple qualifie les nouvelles allégations de « sans fondement », affirmant qu’elle dispose de règles d’approvisionnement strictes et que 99 % du cobalt de ses batteries provient désormais de matériaux recyclés. La société déclare avoir demandé à ses fournisseurs de cesser de s’approvisionner au Congo et au Rwanda alors que les combats s’intensifiaient cette année.
Un groupe de défense américain a poursuivi Apple à Washington, accusant l’entreprise d’utiliser des minéraux liés à des conflits et à des violations des droits des travailleurs en République démocratique du Congo et au Rwanda. Apple rejette ces affirmations. International Rights Advocates affirme que la chaîne d’approvisionnement d’Apple implique toujours du cobalt et d’autres minéraux liés au travail des enfants, au travail forcé et à des groupes armés. Le groupe avait précédemment déposé une plainte similaire, rejetée l’année dernière par les tribunaux américains.
Apple qualifie les nouvelles allégations de « sans fondement », affirmant qu’elle dispose de règles d’approvisionnement strictes et que 99 % du cobalt de ses batteries provient désormais de matériaux recyclés. La société déclare avoir demandé à ses fournisseurs de cesser de s’approvisionner au Congo et au Rwanda alors que les combats s’intensifiaient cette année.
La plainte accuse Apple d’induire les consommateurs en erreur et demande une injonction pour mettre fin à des pratiques marketing présumées trompeuses. Elle affirme également que trois fonderies chinoises ont traité du coltan passé en contrebande via le Rwanda après que des groupes armés se sont emparés de mines dans l’est du Congo, et les relie à la chaîne d’approvisionnement d’Apple.
Apple maintient que des audits indépendants ne montrent aucune preuve qu’elle finance des groupes armés ou utilise le travail forcé.